Live Event - Guillaume Labedan #006

Live Event

Sep 11

Guillaume, 36, lives in the Pyrenees Atlantique. He started cycling five years ago when he returned to his native Pyrenees. He rides a bike more and more regularly and diversifies the disciplines more each year.

Not a competitor, but rather attracted by the challenges and the scenery, he started naturally with the great mountain cyclosportives with varying fortunes and some abandons. He also tested himself on Belgian monuments with a Tour of Flanders and a Liège Bastogne Liège, each time pushing back his kilometer records. With these experiences, he understood the effects of dehydration, food cravings and hypothermia.

UFOLEP member of the GCP Pau club for 3 years, he only joins them on a few Sunday outings, because he is not a fan of village criteriums, preferring not to rub shoulders at high speed. On the other hand, bad weather and cold do not deter him and he likes to roll his wheels in the snow at the top of the open passes in the heart of winter. In all seasons, an hour by bike from home, the mountain provides him with a constant change of scenery. For variation, he likes mountain biking despite a technique that he describes as poor.

He is still testing several disciplines to discover his tastes in cycling. Last year, he crossed the Alps with friends in 36 hours, in a relay mode. A magical experience that gave him the desire for adventure and allowed him to start understanding the body’s unsuspected resources after such a long period. Since then, he has been eyeing ultra events with a mixture of apprehension and addictive attraction. Finally, his friend Sylvain convinced him to embark on the Ultra Bike Pursuit. And he doesn’t regret it! He prepared well for it, even if he also discovered long distance discomforts such as neck pain, saddle pain, weight loss... But as he says: “It’s at the end of the ball that we pay the musicians!” (we’ll see how the training pays off).

With this same group of friends (called the “hamsters”), two weeks after the Ultra Bike Pursuit, he’s set to cross mountains again, this time between his home and the Mediterranean Sea. He could therefore have done both sides of the Pyrenees, and he likes the idea. Perhaps he will register for the Ultimate Pyrenees Ultra Bike Pursuit next year.

But first, he has to cross the finish line of the Hautacam Pursuit Hardcore.

Guillaume has an enormous advantage, being from the region, and doing a lot of cycling on these mountains, he knows all the mountain climbs on the route. But this advantage can backfire. When you know the mountain passes by heart and no longer dread them, you can swallow them at full speed as usual. But in training, no-one never rides 1200km with more than 25,000m of vertical drop, and with luggage. And then there are still minor roads in the Basque Country that Guillaume does not know, and they can hold many surprises for him.

Although participants have up to six days to complete the challenge, Guillaume, work mandates, only has five days. He starts off with confidence that he won’t need more. But if he is wrong, he will not be able to complete the event.

What do you think?

Can Guillaume cross the finish line within the five days of his self-imposed challenge?

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Guillaume, 36 ans, habite dans les Pyrenees Atlantique. Il commence le cyclisme il y a cinq ans à son retour dans ses Pyrénées natales. Il pratique le vélo de plus en plus régulièrement et diversifie les disciplines de plus en plus chaque année.

Pas compétiteur, mais plutôt attiré par les défis et les paysages, il a commencé naturellement par les grandes cyclos montagnardes avec des fortunes diverses et quelques abandons. Il s’est également frotté aux monuments belges avec un tour des Flandres et un Liège Bastogne Liège, en repoussant à chaque fois ses records de kilomètres. Avec cette expérience, il a bien compris les effets de la déshydratation, de la fringale et de l'hypothermie.

Adhérent UFOLEP au club GCP de Pau depuis 3 ans, surtout pour quelques sorties dominicales, car il n’est pas fana des coursettes de village, et pas très courageux quand il faut frotter. En revanche, le mauvais temps et le froid ne le rebutent pas et il aime bien planter ses roues dans la neige en haut des cols ouverts au coeur de l'hiver. En toute saison, la montagne procure pour lui un dépaysement constant, à 1h de vélo de la maison. Pour varier, il aime bien randonner à VTT à l'occasion malgré une technique qu’il qualifie de médiocre.

Il cherche encore a plusieurs disciplines différentes pour tester ses goûts en matière de vélo. Avec des amis, il a traversé les Alpes l'année dernière en 36h, en mode relais. Expérience magique qui lui a donné des envies d'aventure et permis d'entrevoir les ressources insoupçonnées du corps après une si longue durée. Depuis il lorgne sur les épreuves d'ultra avec un mélange d'appréhension et de gourmandise. Finalement, son collègue Sylvain aura achevé de le convaincre de se lancer sur l'Ultra Bike Pursuit. Et il ne le regrette pas! Il s'y est correctement préparé, même s’il a aussi fait connaissance avec les douleurs de nuque, de selle, la perte de poids... Mais comme il dit: « C'est à la fin du bal qu'on paie les musiciens! »

Avec ce même groupe d'amis (autodénommé les "hamsters"), il traversa à nouveau les montagnes dans 15jours, entre son domicile et la méditerranée. Il aurait donc pu faire les 2 côtés des Pyrénées et l'idée lui plait bien. Peut-être s’enregistrera-t-il sur l’Ultimate Pyrenees Ultra Bike Pursuit l’année prochaine.

Mais avant, il faut franchir la ligne d’arrivée de la Hautacam Pursuit Hardcore.

Guillaume a un gros avantage, étant de la région, et faisant beaucoup de vélo en montagne, il connait tous les cols de l’itinéraire. Mais ce gros avantage peut se retourner contre lui. Quand on connait on les cols par coeur et qu’on ne les appréhende plus, on peut avoir tendance a les avales à toute vitesse comme a l’habitude. Mais en entrainement, on enchaine jamais 1200km avec plus de 25000m de dénivelé. Et puis il y a quand même des petites routes du Pays Basque que Guillaume ne connait pas, et elles peuvent lui réserver bien des surprises.

Bien que les participants aient jusqu’à six jours pour compléter l’épreuve, Guillaume, travail oblige, n’a que cinq jours. Il prend le départ en toute confiance qu’il ne lui en faudra pas plus. Mais s’il se trompe, il ne pourra pas terminer l’épreuve.

Qu’en pensez-vous?

Guillaume peut-il passer la ligne d’arrivée dans les cinq jours qu’il s’est lui-même imposé ?

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